Il est connu et su de tous que l’Afrique regorge d’importantes ressources naturelles aussi précieuses, que variées. Fortement convoitées, l’exploitation de ces ressources bien que contribuant à l’avancée de l’humanité est peu profitable aux Africains.
En outre, partout en Afrique, à quelques exceptions près, des grues se hissent pour des travaux d’envergure, ce qui laisse transparaitre l’image d’un continent en chantier, avec d’importants investissements de bailleurs internationaux et multinationales, signe de l’intérêt que ce continent suscite dans le monde des affaires.
De plus, la jeunesse africaine, vaillante et de plus en plus qualifiée est un facteur clé pour le rayonnement du continent berceau de l’humanité, quand on sait que tout développement est basé sur la qualité des hommes qui le porte.
Toute chose qui permet à tous les spécialistes de dire que l’Afrique est le continent de l’avenir.
Paradoxalement l’on continue de voir des populations actives africaines fuir le continent à la recherche d’un mieux-être sous d’autres cieux, bien souvent par des moyens non conventionnels engendrant fréquemment des pertes en vies humaines.
Au vu de ce triste constat il est paru impérieux de faire prospérer l’idée selon laquelle l’Eldorado peut être là où l’on le souhaite, notamment en Afrique ; à la seule condition de travailler sérieusement, honnêtement, correctement, dans l’union, la solidarité et la paix.
La création de Initiative Eldorado Afrique (IEA) répond à cette nécessité.